Une vie toute neuve

Corée du sud, France (2008)

Genre : Comédie dramatique

Écriture cinématographique : Fiction

Collège au cinéma 2011-2012

Synopsis

Séoul, 1975. Jinhee a 9 ans. Son père la place dans un orphelinat tenu par des Sœurs catholiques. Commence alors l’épreuve de la séparation et la longue attente d’une nouvelle famille. Au fil des saisons, les départs des enfants adoptées laissent entrevoir une part du rêve, mais brisent aussi les amitiés à peine nées. Jinhee résiste, car elle sait que la promesse d’une vie toute neuve la séparera à jamais de ceux qu’elle aime.

Distribution

Saeron Kim / Jinhee
DyYeon Park / Sooklhee
Myungshin Park / Bomo
Kynggu Sol / Le père
Mansuk Oh / Le directeur de l’orphelinat
Seongkeun Moon / Le médecin
Hyunjoo Baik / Soeur Lim
Yejin Jeong / Soeur Park

Générique

Réalisation : Ounie Lecomte
Scénario : Ounie Lecomte
Image : Hyunseok Kim
Musique : Jim Sert
Montage : Hyungjoo Kim
Son : Jaiho Choi
Décors : Kyengin Baek
Production : Gunyoung Bae
Distribution : Diaphana
Sortie en France : 6 janvier 2010
Couleurs
Durée : 1h32

Vidéos

La vierge blanche

Catégorie :

Un personnage traverse le film dans toute sa longueur. Un personnage muet, auquel personne ou presque ne prête attention ou n’adresse un regard. Un personnage qui semble pourtant participer au drame, juger les actions de Jinhee. C’est la statue blanche de la vierge qui semble dominer veiller sur l’orphelinat, d’un regard protecteur, absent ou réprobateur… À chacun d’en juger…
Cette vidéo peut être vue en relation avec la page 15 (« Images maternelles ») du dossier “Une vie comme neuve”.


Analyse : Joël MAGNY
Réalisaton : Jean-Paul DUPUIS

Le regard brisé

Catégorie :

L’abandon de Jinhee par son père va marquer définitivement la fillette qui devra réapprendre à regarder vers les autres, vers un avenir possible. Dès les premières images d’ “Une vie toute neuve”, l’exclusion du père du champ visuel de Jinhee comme du spectateur, la distance entre les deux corps sont annoncés et vécus à travers le découpage du film et le regard de l’enfant.


Analyse : Joël MAGNY
Réalisaton : Jean-Paul DUPUIS